Fini le petit déjeuner servi par Maurice.
Fini les tournois de pétancle.
Fini les apéros sur la terrasse.
Fini les repas à la provençale.
Ce matin, nous emménageons dans notre propre maison. Ce n'est pas un domaine mais c'est immense. On peut presque s'y perdre tant il y a de corridors, de grandes salles, de salons. À trois, on ne pourra pas se piler sur les pieds...
La maison est propre et les lits refaits. C'est meublée bien sûr et en plus des meubles de base, il y a un poêle à gaz, un petit frigo, un micro-onde et surprise: une laveuse à linge! Je visite les armoires de cuisine. Peu de vaisselle, des marmites et pas de cafetière. Ce sera un achat prioritaire. Une visite à l'épicerie ainsi qu'au petit marché et la maison sera habitée.
Nous avons chacun une grande chambre avec salle de bain complète et le tout, climatisé. Il y a tellement de rangement qu'on pourrait se perdre là aussi. Par contre, nous n'avons pas de cour avec pelouse ni arbres fruitiers. Le gardien a fait sa "maison" dans la cour avant (voir photo) et la cour arrière est une garderie. Cinq jours par semaine, les cris joyeux des jeunes enfants nous réveilleront mais les week-end seront tranquilles. J'en reparlerai certainement sous peu.
Maurice offre son aide et son véhicule bleu pour nous déménager. Sous un soleil de PLOMB, rien de moins, nous transportons nos immenses valises. La sueur coule à flot, la peau brûle. Quelle température fait-il? 42 C à l'ombre. C'est tout simplement trop chaud.
En bouclant mes bagages, j'ai un grand choc. Je retrouve la veste noire que je porte sous mon manteau de ski chaque jour au Québec quand je fais du ski. C'est ce vêtement confortable que je portais pour prendre l'avion à Montréal il y a déjà 10 jours. C'est une veste en nylon doublée de polar... Je l'ai touché..... et j'ai presque paniqué... Il est devenu très difficile d'imaginer de porter une telle veste ou que ce genre de vêtements puisse exister... Je l'ai montré à André. Même réaction d'horreur! Nous avons oublié l'hiver.
Désolée de ne pas pouvoir vous transférer un peu de cette chaleur par vase communiquant ou autrement. On la partagerait avec grande joie. Il y en a trop. J'attends qu'il soit 17 heures pour aller me baigner à la piscine de l'hôtel. Maintenant, c'est trop chaud pour la baignade! Vous pouvez imaginer?
Louise
Fini les apéros sur la terrasse.
Fini les repas à la provençale.
Ce matin, nous emménageons dans notre propre maison. Ce n'est pas un domaine mais c'est immense. On peut presque s'y perdre tant il y a de corridors, de grandes salles, de salons. À trois, on ne pourra pas se piler sur les pieds...
La maison est propre et les lits refaits. C'est meublée bien sûr et en plus des meubles de base, il y a un poêle à gaz, un petit frigo, un micro-onde et surprise: une laveuse à linge! Je visite les armoires de cuisine. Peu de vaisselle, des marmites et pas de cafetière. Ce sera un achat prioritaire. Une visite à l'épicerie ainsi qu'au petit marché et la maison sera habitée.
Nous avons chacun une grande chambre avec salle de bain complète et le tout, climatisé. Il y a tellement de rangement qu'on pourrait se perdre là aussi. Par contre, nous n'avons pas de cour avec pelouse ni arbres fruitiers. Le gardien a fait sa "maison" dans la cour avant (voir photo) et la cour arrière est une garderie. Cinq jours par semaine, les cris joyeux des jeunes enfants nous réveilleront mais les week-end seront tranquilles. J'en reparlerai certainement sous peu.
Maurice offre son aide et son véhicule bleu pour nous déménager. Sous un soleil de PLOMB, rien de moins, nous transportons nos immenses valises. La sueur coule à flot, la peau brûle. Quelle température fait-il? 42 C à l'ombre. C'est tout simplement trop chaud.
En bouclant mes bagages, j'ai un grand choc. Je retrouve la veste noire que je porte sous mon manteau de ski chaque jour au Québec quand je fais du ski. C'est ce vêtement confortable que je portais pour prendre l'avion à Montréal il y a déjà 10 jours. C'est une veste en nylon doublée de polar... Je l'ai touché..... et j'ai presque paniqué... Il est devenu très difficile d'imaginer de porter une telle veste ou que ce genre de vêtements puisse exister... Je l'ai montré à André. Même réaction d'horreur! Nous avons oublié l'hiver.
Désolée de ne pas pouvoir vous transférer un peu de cette chaleur par vase communiquant ou autrement. On la partagerait avec grande joie. Il y en a trop. J'attends qu'il soit 17 heures pour aller me baigner à la piscine de l'hôtel. Maintenant, c'est trop chaud pour la baignade! Vous pouvez imaginer?
Louise
Les hommes forts au travail. Je prends des photos...
La maison du gardien dans la cour avant.
Le devant d'une partie de la maison.
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